Votre parcours professionnel ?
Je suis entrepreneur dans l’âme. Après avoir créé L’Âge d’Or Services et l’Âge d’Or Expansion, des sociétés de services pour les personnes âgées et handicapées, je me suis lancé, en 2010, dans la restauration du château de Bignicourt-sur-Saulx, situé à une heure de Troyes, ma ville natale.
Les gens que j’accueillais là-bas s’y sentaient tout de suite bien, ce qui m’a donné l’idée, en 2017, d’une nouvelle société : Relais du Bien-Être.
Le concept est le suivant : proposer des parcours de prévention à des personnes en situation de fragilité, lors de séjours dans des demeures historiques (châteaux, abbayes, mas provençal, monastère…).
Cela s’adresse principalement aux aidants, aux personnes ayant guéri d’un cancer, ou qui sont en deuil. Nous sommes déjà présents dans une trentaine de départements et prévoyons de nous implanter partout en France.
Votre implication dans d’autres activités ?
En tant qu’entrepreneur, je suis impliqué dans des mouvements patronaux, le Medef et la CPME. Je suis également membre d’une association de protection des Viennes de Saint-André, une voie verte à proximité de mon lieu d’habitation.
Votre région et ce qu’il faut absolument découvrir ?
Dans ma région, il y a de grands lacs aménagés, comme ceux du Der, de la forêt d’Orient et de Dienville, pour les plus grands.
Nous sommes aussi sur des terres viticoles, avec les vignes de Champagne et d’Alsace.
À Troyes, nous avons la chance d’avoir de grands musées, comme le Musée d’Art Moderne, qui détient près de 3 000 œuvres, et la Cité du Vitrail, où sont actuellement exposés des vitraux de Notre-Dame de Paris.
C’est aussi la capitale de la maille : Lacoste ou Petit Bateau y fabriquent toujours des vêtements.
Vos hobbies et vos passions ?
Je suis très sportif, avec trois séances de musculation par semaine et un jogging le dimanche. Je suis également danseur de salon depuis mes 18 ans (j’ai participé à des concours de rock, de valse et de tango). D’autre part, j’aime le jardinage, et faire la cuisine dans le but de recevoir.
Enfin, je suis passionné par les relations humaines. C’est une constante chez moi : depuis l’âge de 12 ans, je suis attentif aux conditions de vie de nos aînés et je rends facilement service.
Il m’arrive même d’animer des messes d’enterrement lorsque les prêtres ne sont pas disponibles. Je trouve que, de nos jours, on est enterré et oublié trop rapidement. Certaines personnes ont pourtant eu des vies incroyables, et il est important de faire leur éloge funéraire.
Votre rôle de Correspondant régional AMPHITÉA ?
Il consiste essentiellement à représenter les intérêts des assurés d’AG2R LA MONDIALE et à favoriser leur information et leur protection.
Il est parfois compliqué de tout comprendre dans les contrats d’assurance, c’est pourquoi je m’efforce de les rendre compréhensibles.
En résumé, je suis un relais entre les assurés et AG2R La Mondiale. Je dois m’assurer que les préoccupations, les besoins et les attentes des assurés soient entendus et pris en compte.
Une anecdote en lien avec AMPHITÉA ?
Récemment, lors d’une réunion, j’ai accueilli une nouvelle Correspondante, fort sympathique.
À la fin de la présentation, elle m’a glissé que je n’avais pas à lui expliquer ce que je faisais comme métier, car elle avait participé à l’un de mes parcours de prévention. Quand on sait que nous sommes une jeune entreprise, c’était quand même un sacré hasard. Nous nous sommes tout de suite bien entendus !