Votre parcours professionnel ?
J’ai commencé par travailler comme secrétaire, tout d’abord à la Caisse d’Épargne de Nice, puis à l’hôpital Lenval et à la faculté de droit de Nice.
En 1986, il y a eu un tournant : je me suis lancée, avec mon mari, dans la création d’une société de transport routier international. Au début, nous acheminions du tissu et du marbre d’Italie vers la France et la Belgique. Une activité que nous avons ensuite recentrée autour du transport de denrées non périssables, entre Nice et Paris, tout en développant l’événementiel (Tour de France, Festival de Cannes, Grand Prix de Monaco…), le stockage et la livraison régionale.
Dans cette société, je faisais tout, de l’assistance de gestion aux RH, en passant par le SAV, etc. Jusqu’à ce que mon mari et moi décidions de revendre, en 2019, à la lumière d’un audit social et patrimonial réalisé par AG2R LA MONDIALE.
Aujourd’hui, nous sommes toujours à la tête d’une SCI et d’une société de conseil auprès des chefs d’entreprise, que nous avions créées en parallèle de notre société de transport.
L’heure de la retraite sonnera pour moi en avril prochain.
Votre implication dans d’autres activités ?
Je fais partie de 60 000 Rebonds, une association qui vient en aide aux chefs d’entreprise ayant déposé le bilan. Ils y trouvent des parrains et des marraines, comme moi, des experts professionnels, des coachs…
Votre région et ce qu’il faut absolument découvrir ?
Ma région, tout le monde la connaît ! C’est la Côte d’Azur : Nice, Cannes…
Moi, j’habite à Cagnes-sur-Mer.
C’est une très belle ville, qui a conservé un port de pêcheurs authentique.
Nous avons aussi la chance d’avoir un magnifique château, le château Grimaldi, où sont organisés, durant l’été, un festival de jazz et des fêtes médiévales.
Tout comme un musée Renoir, dont les jardins accueillent, également l’été, du théâtre, du chant lyrique…
Juste derrière Cagnes-sur-Mer, il y a une super randonnée à faire : le Baou de Saint-Jeannet. C’est une promenade familiale, pas difficile du tout. De là-haut, on peut voir toute la Côte d’Azur. C’est un émerveillement !
Vos hobbies et vos passions ?
J’adore visiter des expositions de peintures. Moi-même, je peins, chez moi ou dans le cadre d’un atelier d’art, situé à Nice. Quand je démarre une toile, je ne sais pas où cela va me mener. J’utilise principalement le fusain et la peinture acrylique, je fais des collages aussi. Tout cela aboutit à des paysages, des visages.
Votre rôle de Correspondant régional AMPHITÉA ?
AG2R LA MONDIALE a besoin de l’avis de ses clients pour faire évoluer ses produits et les mettre en place. En tant que Correspondante AMPHITÉA, je donne le mien.
Une anecdote en lien avec AMPHITÉA ?
À la fin de l’entretien que j’ai eu avec Guy Lamelot, l’ancien directeur d’AMPHITÉA, au moment de ma candidature, en 2009, je lui ai dit : « J’ai bien compris ce que vous alliez m’apporter, mais, moi, que puis-je faire pour AMPHITÉA, car je n’y connais rien à l’assurance. » Il a rigolé, et m’a répondu : « Ne vous inquiétez pas, vous allez nous apporter beaucoup ! » Il avait raison. Tout au long de ces années, j’ai beaucoup appris, et me suis beaucoup investie : comme Correspondante régionale, ce que je suis toujours, mais aussi dans les comités Produits et Gestion, au sein du Conseil d’Administration et au Bureau. AMPHITÉA est une très belle association, qui fait du bien aux adhérents d’AG2R LA MONDIALE et aux Correspondants.