Votre parcours professionnel ?
J’ai commencé par travailler comme responsable de production, tout d’abord pour une société de cordes d’escalade (BEAL), puis chez CREE (Centre de Réalisations en Ergothérapie et en Ergonomie), une entreprise d’aides techniques pour personnes handicapées, dont je suis aujourd’hui le président, après en avoir été directeur commercial et directeur général.
Votre implication dans d’autres activités ?
Dans les années 2000, j’ai présidé une association de parents d’élèves et une association de musique, tout en étant élu municipal.
En 2005, j’ai cofondé le syndicat professionnel UFAT (Union des Fabricants d’Aides techniques), dont je préside le bureau depuis cette année (j’y suis élu depuis 2005).
Votre région et ce qu’il faut absolument découvrir ?
Avec le Festival de Jazz de Vienne, les Nuits de Fourvière à Lyon, le Festival Musilac à Aix-les-Bains, et bien d’autres encore, la région Rhône-Alpes a une forte culture musicale.C’est aussi une région gastronomique, de Bocuse aux bouchons du centre-ville de Lyon, en passant par de nombreux et très bons restaurants étoilés, comme ceux de Georges Blanc (à Vonnas), Patrick Henriroux (La Pyramide, à Vienne), Christian Têtedoie (à Lyon Fourvière) ou encore Régis Marcon (à Saint-Bonnet-le-Froid).Nous sommes également une région viticole, qui culmine, en rouge, avec les Côte-Rôtie, dont les ceps sont plantés sur les fortes pentes donnant sur le Rhône, à hauteur d’Ampuis et de Condrieu. En blanc, on dégustera les Condrieu des mêmes producteurs.
Petite anecdote : les racines de ces ceps, implantées dans la roche, peuvent atteindre jusqu’à 25 mètres de profondeur.
Plus au sud, les Saint-Joseph et autres Crozes Hermitage peuvent être excellents, en rouge comme en blanc. Sans oublier, au nord de Lyon, les très médiatisés Beaujolais, mondialement connus mais diversement appréciés des Lyonnais.
La région est très dynamique sur le plan économique. Lyon demeure un grand pôle pharmaceutique (les sociétés Boiron et Mérieux, entre autres, y sont implantées), mais également pétrolier (la raffinerie de Feyzin se trouve aux portes Sud de Lyon).
Enfin, c’est une région sportive, avec l’Olympique Lyonnais et l’ASSE Saint-Étienne pour le foot, et le LOU pour les amateurs de Rugby.
Vos hobbies et vos passions ?
Formé à Sciences Po, j’aime m’impliquer socialement. D’où ma participation à différentes associations de mon village, mon mandat de conseiller municipal de 2001 à 2008, ou encore la création d’un syndicat professionnel en 2005, vécu à ses débuts comme un club de confrères (et concurrents) à l’anglaise, et qui est désormais bien structuré.
Sur le plan musical, j’ai été un grand fan de David Bowie. Je vais souvent voir en concert le groupe Simple Minds, bien que ses membres vieillissent autant que moi, et suis ouvert à toute forme de musique francophone ou anglophone.
Enfin, j’aime louer des catamarans en famille et partager le plaisir de la glisse sur l’eau et de l’apprentissage des vents.
Votre plat préféré
En été, j’apprécie une salade de tomates de mon jardin, avec du basilic, là encore de mon jardin, des olives noires, de la mozzarella ou de la burrata, et une bonne huile d’olive vierge, accompagnée d’un vin rosé de Bandol.
En hiver, j’aime la croziflette, ce gratin de fromage et crozets savoyards accompagné d’un peu de bon lard fumé et d’un verre de vin blanc de Savoie.
Votre rôle de Correspondant régional AMPHITÉA ?
Adhérent depuis début 2022, mon rôle est encore assez limité au sein de l’Association.
J’ai néanmoins accepté de rejoindre ce club des Correspondants régionaux car, étant client multi-contrats du groupe AG2R LA MONDIALE à titre privé comme professionnel depuis 1988, je ne comprenais pas à quoi servait cette Association.
Depuis j’ai compris le double intérêt : tout d’abord légal, auprès de notre assureur partenaire ; et éducatif, informatif et médiatique, au sens de médiateur, auprès des adhérents.
Mon rôle est donc de vulgariser auprès de mon entourage privé ou professionnel l’utilité d’un contrat d’assurances, mais également, et surtout, de faire connaître cette Association, qui protège les intérêts des signataires de ces mêmes contrats, voire les fait progresser.
Une anecdote en lien avec AMPHITÉA ?
Lors de notre récent voyage au Pays Basque, j’ai pu échanger avec une personne de Poitiers qui était la nièce du fondateur d’un groupe médical qui se trouve être mon plus gros client en France.
Je ne l’avais pas reconnue, et ça a été un moment sympa car nous avions des souvenirs communs, ce que je n’ai pas encore assez avec les autres Correspondants régionaux.
J’ai attribué ce moment à la magie du réseau AMPHITÉA.