Quand on leur demande vers qui ils vont chercher du conseil en priorité, les Français citent en premier leur conseiller bancaire. Pourtant, leur assureur est le mieux placé pour les aider à définir leurs objectifs en fonction de leur projet de vie, évaluer leurs différents horizons d’épargne, mesurer leur résistance au risque, pour finalement opter pour les bons supports et les bons produits. Avec son audit de protection sociale et patrimoniale, mais aussi avec l’organisation de ses conseillers en trois niveaux de compétence, le partenaire assureur d’AMPHITEA peut vous apporter sur le long terme une plus-value précieuse.
En charge du réseau des Responsables régionaux d’épargne patrimoniale (RREP) du groupe AG2R LA MONDIALE, Alexandre Joire détaille ce savoir-faire de votre assureur.
Alexandre Joire, en charge du réseau des Responsables Régionaux d’Épargne Patrimoniale (RREP) d’AG2R LA MONDIALE
« S’appuyer sur un conseiller est indispensable »
Pourquoi est-ce si important de prendre conseil ?
Qu’il s’agisse de législation fiscale, sociale ou financière, notre monde se complexifie sans cesse et il est très difficile d’appréhender les problématiques dans leur globalité. S’appuyer sur un conseiller est indispensable.
Quel est le préalable, face à un client ?
Nous ne pouvons donner de bons conseils que si nous connaissons de manière fine la situation de notre client, c’est -à-dire son environnement familial, son régime matrimonial, l’état de son patrimoine financier, immobilier et éventuellement professionnel.
Nous devons aussi évaluer avec lui son horizon de placement en fonction de ses projets, ainsi que sa sensibilité face au risque.
Cela nous amène parfois très loin dans la prise de renseignements, mais le but est de restituer le plus fidèlement possible la situation à un moment T, afin de pouvoir identifier les solutions les plus pertinentes pour le client.
Cela requiert de l’exhaustivité et la sincérité de la part de celui-ci…
Oui, on peut parfois se heurter à une réticence à se mettre ainsi un peu « à nu ».
Mais j’ai l’habitude de dire que, de la même façon qu’un médecin ne peut pas délivrer une ordonnance sérieuse sans examiner son patient, nous devons, nous aussi, ausculter notre client pour lui donner des bons conseils…
« Un banquier assure les fins de mois, un assureur assure la fin de vie. »
Parlez-nous de l’audit de protection sociale et patrimoniale…
Pour proposer cet audit, nous avons développé un logiciel très performant permettant de synthétiser les données recueillies et d’établir une cartographie très concrète, complète, visuelle et pédagogique de la situation du client.
Nous pouvons même modéliser des événements de la vie tels que les études des enfants, la retraite du conjoint… Cet outil, beaucoup nous l’envient, car c’est lui qui assure la pertinence de nos audits.
Dans l’univers du conseil, quel est le plus que peut apporter un assureur ?
Une vision globale intégrant le patrimoine social dans la réflexion. Un banquier assure les fins de mois, un assureur assure la fin de vie.
La comparaison est un peu réductrice, mais néanmoins révélatrice, avec cette volonté de l’assureur de prendre en compte le vieillissement et ses problèmes de transmission de patrimoine.
Sans vision globale et de long terme, on ne peut pas, par exemple, conseiller à un client de renoncer à son héritage pour privilégier ses enfants en sautant une génération…
Comment votre réseau commercial est-il organisé pour délivrer des conseils ?
Notre groupe a été visionnaire en permettant au réseau de base de s’appuyer sur des experts, tels que les ARTEO, dédiés à la transmission d’entreprise, ou les Responsables régionaux d’épargne patrimoniale, les RREP, qui interviennent sur le patrimoine privé.
Nous pouvons même mobiliser, en troisième niveau, des ingénieurs patrimoniaux qui assurent une gestion financière plus poussée en recourant à des produits sophistiqués.
Grâce à ces trois degrés de conseil, nous pouvons intervenir à tout moment dans la vie de nos clients, en tenant compte de leur niveau de patrimoine.